Apres un assez long voyage, je survole la mer et apercois les cotes venezueliennes. Vu de l'avion, la mer est d'un bleu magnifique. Je vois juste l'ombre de l'avion sur la mer et je distingue vaguement les montagnes cachees par un epais bruyant. On dirait une peinture.

On se rapproche de plus en plus de l'aeroport, on arrive droit sur les montagnes vertes de Caracas (13h45). Atterisage reussi, les gens applausissent!!!

La, j'attends mes bagages pendant au moins 15min, les valises defilent mais je ne vois pas les miennes : la pression monte... au bout de 20 min je les recupere enfin!!! Je me dirige vers la sortie et je vois un monsieur avec une pancarte "Ambassade de France"; c'est notre chaffeur. Je fais la connaissance de Shems (l'assiatant affecte a Valencia). A l'exterieur nous attendent Cecile et Audrey ( assistantes affectees a Merida).

Nous voila partis sur l'autoroute direction l'hotel. On decouvre le paysage: des favelas de toutes les couleurs(los barrios) qui epousent le pieds des montagnes vertes. Le cadre est superbe et triste a la fois: j'ai du mal a exprimer ce que j'ai ressenti. J'etais en extase face a la nature et a la fois touchee par la pauvrete qui me sautait aux yeux.

On se rapproche de la ville, des immenses panneaux plublicitaires longent le bord de route, puis peu a peu je remarque que les panneaux plublicitaires commencent a se faire rares, maintenant les pubs sont carrement tagger sur les murs !!

Ca y est, on rentre vraiment dans la ville et dans les bouchons. Eh oui, Caracas est reputee pour ses eternels embouteillages qui peuvent durer des heures (c'est encore pire que les jours de depart ou de retour de vacances en France et en plus a Caracas c'est comme ca toute l'annee, jour et nuit).

Arrivee a Caracas

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